Le tourisme noir porte bien son nom, et pour cause, cela consiste à visiter des lieux imprégnés d’histoires généralement macabres. Les visites autour de la mort font recette, peut-être y as tu toi même participé, sans pour autant t’en rendre compte.
Focus sur cette « tendance » qui monte.
Visites de lieux sinistres

Rentrons dans le vif du sujet, quels sont les types de visites qui peuvent être considérées comme des lieux de tourisme noir ? Et bien très globalement des lieux ou la mort fait partie intégrante de l’histoire du lieu ou tout simplement des sites ou des catastrophes de grande envergure ont eu lieu. Si des lieux comme Tchernobyl attiraient déjà les petits curieux, la récente série TV de HBO a fait grimper l’affluence dans la ville abandonnée. D’autres sites ou des catastrophes nucléaires ont eu lieu attirent également, la région de Fukushima au Japon est emprise de cette montée en puissance et voit une masse de touristes fouler le site depuis la catastrophe de 2011.
Il y a cependant des sites un peu moins controversés ou l’histoire avec un grand H constitue le réel intérêt du lieu. Ainsi quand tu visite les catacombes de Paris ou celles des Capucins à Palerme en Sicile tu participe toi aussi au tourisme noir. Ou bien encore lorsque tu visite les camps de concentration en Allemagne.
Le tourisme noir, ou sombre, n’est donc pas entièrement néfaste ou sinistre lorsqu’il participe au devoir de mémoire du visiteur.
Selfie en lieu sombre, une pratique qui dérange
Forcément, qui dit tendance dit dérives. Ainsi certaines associations de victimes se sont soulevées face à certains touristes qui n’hésitent pas à poser en string ou se prendre en selfie devant des lieux ou la catastrophe a détruit des vies. A Tchernobyl notamment et suite au succès fou de la Série TV, le réalisateur du show a même dû rappeler les fans au respect dans un tweet.
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20 octobre 2021 à 12 h 46 min